L’été arrive, qui se refuserait à partir, voyager et sortir du quotidien ? Et si, cette fois-ci, vous décidiez de partir en écriture…
Partir en écriture
Ouvrir un livre et voyager dans les mots, les cultures, les visions du monde. Rêver d’ailleurs et vivre l’ailleurs, l’autre, le différent, par la lecture et l’écriture.
Mais partir en écriture, c’est aussi s’ouvrir aux rencontres. Aller au devant des écrivains et de leurs mondes, de tous ceux qui ont envie d’écrire. Se nourrir de textes, d’autres cultures et d’autres littératures ou d’autres regards autour de nous.
Et c’est encore chercher et trouver des mots nouveaux, des phrases différentes. C’est enfin explorer les frontières du réel et de l’imaginaire (et tout cela, comme le disait Françoise Chandernagor, en restant chez soi, ou presque[1].)
Partir en écriture et écrire avec l’Amérique Latine
Voilà, en résumé, ce que nous vous proposons dans notre prochain stage « Fantastique, merveilleux, réalisme magique : écrire avec l’Amérique Latine ». Car en nous repenchant sur le parcours de l’imaginaire, le traitement du fantastique et du réalisme dans la littérature hispano-américaine, nous pourrons penser différemment notre propre rapport au réel. Et nous pourrons choisir de regarder le monde autrement, de le faire regarder par le lecteur autrement.
Pendant les deux jours du stage, les 6 et 7 avril prochains, les différentes propositions seront là pour vous inciter à dire le fantastique, l’étrange ou le merveilleux. Elles vous aideront à explorer les limites du rapport au réel ou à redécouvrir comment l’imaginaire peut être un vecteur de critique sociale ou éthique. Nous n’oublierons pas non plus le simple plaisir de raconter le merveilleux. Ni, bien sûr, de partir à la recherche des sources de l’émerveillement dans l’enfance. Et surtout, nous jouerons avec les mots, les récits, les lecteurs possibles.
Pendant deux jours, nous effectuerons un parcours avec les grands auteurs d’Amérique Latine : Horacio Quiroga, Gabriel Garcia Marquez, Julio Cortazar… En mettant en commun nos interrogations et nos interprétations, nous chercherons à repousser nos limites d’écriture et d’imagination.
A l’heure où la littérature contemporaine se cherche de nouvelles voix, de nouveaux modes d’expression, pourquoi ne pas s’ouvrir au voyage, et faire quelques pas… juste un peu plus loin ?
Pour en savoir plus, c’est ICI ! Et vous pouvez aussi contacter directement la maison des écritures de Lombez : ICI
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[1] Françoise Chandernagor « C’est l’avantage d’avoir fait le tour de la terre par le récit des voyageurs que de pouvoir rester chez soi.” L’allée du roi.